Alors que la charge de la dette pour 2025 s’annonce supérieure au budget alloué à l’Éducation nationale, les tensions montent dans la sphère politique. La décision du 8 septembre prochain est très attendue : il ne s’agira pas d’un vote de confiance mais d’un positionnement sur un constat partagé par une partie des parlementaires — la France est-elle en situation de surendettement ?

Depuis la présentation du projet de budget le 15 juillet, l’inquiétude s’est installée dans les rangs politiques. Certains, comme François Bayrou, appellent à une prise de conscience rapide. La perspective d’une charge de la dette atteignant 109 milliards d’euros par an d’ici 2029 pose la question de réformes structurelles majeures, comme celle du temps de travail.

Ce débat relance les discussions sur les priorités nationales, le rôle du Parlement et les solutions à apporter face à une dette qualifiée de « colossale ».